Notre mensuel examine les problèmes posés par la pollutions des navires de croisière à Marseille et Barcelona, et tout autant les solutions. Il s'intéresse à la jeune poésie d'oc et vous parle de son festival à Salinelles.
Tout en vous informant des nouvelles liées à l'enseignement de notre langue. Cet été l'actualité a ses côtés positifs, nous les examinons.
Abonnez-vous, faites vous plaisir tout en assurant la soutenabilité de la presse d'expression occitane.
Tout en vous informant des nouvelles liées à l'enseignement de notre langue. Cet été l'actualité a ses côtés positifs, nous les examinons.
Abonnez-vous, faites vous plaisir tout en assurant la soutenabilité de la presse d'expression occitane.
Poésie, enseignement de l'occitan, regards sur notre histoire...Notre mensuel est prêt à vous apporter tout cela vers le 20 juillet.
La presse française vous parle beaucoup de la pollution des navires de croisière au port de Marseille, en relativisant celle que provoquent les milliers d'automobiles qui circulent dans la même ville portuaire.
C'est vrai que ces immenses navires génèrent d'énormes nuisances. Et c'est vrai dans d'autres villes-port, comme Barcelona. Ce mois-ci Aquò d'Aquí va au fond des problèmes vécus dans les deux cités, et s'intéresse aux solutions. Elles existent.
Et souvent c'est la société civile qui les met en avant.
A Salinelles (Gard) le mois dernier, l'éditeur Paul Martin (L'Aucèu Libre) et la poétesse Estello Ceccarini, ont créé un événement littéraire qui, nous l'espérons, sera renouvelé, et mieux, sera durable. Réunir les éditeurs d'oc et consacrer deux journées à un genre littéraire - cette année la poésie - dans une ambiance festive, a attiré un public. Nous rendons compte de ce succès.
La poétesse Aurélia Lassaque y était. Elle a répondu à nos questions. Elle fera une pause dans sa vie - assez originale - de globe trotter de la poésie occitane, car d'autres projets la motiveront cette année.
Nous gardons la surprise pour nos abonnés, mais si partout l'occitan au lycée doit être défendu pied à pied, dans le Var, il reconquiert...La matière y avait totalement disparu. Il est donc possible de la "ressusciter"! Voyons dans quelles conditions, cela servira à d'autres.
Nous suivons une Catalane de Nice à Strasbourg, où dix mille personnes, début juillet, ont voulu accompagner l'ex président de la Generalitat de Catalogne, Carles Puigdemont, à qui l'Espagne refuse le statut de député européen. Il a été élu par deux millions de citoyens, mais une hypocrisie de la législation espagnole permet de priver ces électeurs de leur choix démocratique. L'Union Européenne laisse faire...
Felip Hammel refait, un siècle après, l'enquête sur l'assassinat de Jean Jaurès. Et le public languedocien se passionne pour l'affaire, un scandale. Gisèle Naconaski interroge l'historien. De son côté Felip Martel, lui, nous parle de Michel Serres. Le philosophe disparu récemment estimait que l'occitan ne pouvait tout exprimer. Erreur stupide que véhiculent des gens par ailleurs intelligents. Nous les invitons donc à una ablation de la tour Eiffel qu'ils gardent dans leur boîte crânienne.
Les dessins d'humour et reportages de Gérard Phavorin, les mots mêlés de Reinat Toscano, la chronique herboriste de Florence Faure-Brac et la connaissance humoristique du parler marseillais à laquelle invite Médéric Gasquet-Cyrus, compléteront ce numéro d'été, avec bien d'autres choses à lire, en français comme en occitan dans plusieurs de ses variétés dialectales.
Ce tour de force qui consiste à vous proposer chaque mois des enquêtes, reportages, portraits, compte-rendus en langue d'oc ou à propos de la langue d'oc, avec des journalistes professionnels, n'est possible durablement qu'avec votre adhésion. Celle-ci s'exprime par un abonnement qui nous est indispensable. Pour le prix d'un restaurant, vous contribuez à damer le pion à ceux qui prétendent que votre langue est une langue morte! ...
C'est vrai que ces immenses navires génèrent d'énormes nuisances. Et c'est vrai dans d'autres villes-port, comme Barcelona. Ce mois-ci Aquò d'Aquí va au fond des problèmes vécus dans les deux cités, et s'intéresse aux solutions. Elles existent.
Et souvent c'est la société civile qui les met en avant.
A Salinelles (Gard) le mois dernier, l'éditeur Paul Martin (L'Aucèu Libre) et la poétesse Estello Ceccarini, ont créé un événement littéraire qui, nous l'espérons, sera renouvelé, et mieux, sera durable. Réunir les éditeurs d'oc et consacrer deux journées à un genre littéraire - cette année la poésie - dans une ambiance festive, a attiré un public. Nous rendons compte de ce succès.
La poétesse Aurélia Lassaque y était. Elle a répondu à nos questions. Elle fera une pause dans sa vie - assez originale - de globe trotter de la poésie occitane, car d'autres projets la motiveront cette année.
Nous gardons la surprise pour nos abonnés, mais si partout l'occitan au lycée doit être défendu pied à pied, dans le Var, il reconquiert...La matière y avait totalement disparu. Il est donc possible de la "ressusciter"! Voyons dans quelles conditions, cela servira à d'autres.
Nous suivons une Catalane de Nice à Strasbourg, où dix mille personnes, début juillet, ont voulu accompagner l'ex président de la Generalitat de Catalogne, Carles Puigdemont, à qui l'Espagne refuse le statut de député européen. Il a été élu par deux millions de citoyens, mais une hypocrisie de la législation espagnole permet de priver ces électeurs de leur choix démocratique. L'Union Européenne laisse faire...
Felip Hammel refait, un siècle après, l'enquête sur l'assassinat de Jean Jaurès. Et le public languedocien se passionne pour l'affaire, un scandale. Gisèle Naconaski interroge l'historien. De son côté Felip Martel, lui, nous parle de Michel Serres. Le philosophe disparu récemment estimait que l'occitan ne pouvait tout exprimer. Erreur stupide que véhiculent des gens par ailleurs intelligents. Nous les invitons donc à una ablation de la tour Eiffel qu'ils gardent dans leur boîte crânienne.
Les dessins d'humour et reportages de Gérard Phavorin, les mots mêlés de Reinat Toscano, la chronique herboriste de Florence Faure-Brac et la connaissance humoristique du parler marseillais à laquelle invite Médéric Gasquet-Cyrus, compléteront ce numéro d'été, avec bien d'autres choses à lire, en français comme en occitan dans plusieurs de ses variétés dialectales.
Ce tour de force qui consiste à vous proposer chaque mois des enquêtes, reportages, portraits, compte-rendus en langue d'oc ou à propos de la langue d'oc, avec des journalistes professionnels, n'est possible durablement qu'avec votre adhésion. Celle-ci s'exprime par un abonnement qui nous est indispensable. Pour le prix d'un restaurant, vous contribuez à damer le pion à ceux qui prétendent que votre langue est une langue morte! ...