La UNE du numéro 284 (février 2016))
Et oui ! Aquò d’Aquí c’est aussi un mensuel, dont le numéro de février arrivera chez ses abonnés vers le 25 janvier.
En voici le sommaire, en bref...
Mais oui ! Il existe un plan du Canal de Provence pour irriguer la vigne provençale. L’enjeu, c’est l’adaptation au changement climatique. Pourquoi plutôt ne pas adapter notre manière de travailler la vigne ? Rétorquent des viticulteurs opposés à ce qui leur apparaît comme la porte ouverte à l’extension des zones de villas avec piscine. Ceux-là doivent-ils mettre de l’eau dans leur vin ? Aquò d’Aquí ouvre le débat, avec les professionnels concernés. D’ailleurs on pourra le poursuivre le 5 février dans un domaine viticole de Pourrières (83), au pied du Venturi. Vous y êtes invités !
Dans ce numéro 284, que nos abonnés recevront vers le 25 janvier, vous trouverez aussi des contenus qui ne figurent pas sur notre édition web : la chronique de Médéric Gasquet-Cyrus, « l’occitan au quartier », qui est ici souvent du francitan, décliné avec malice par le chroniqueur de France Bleue Provence. Pascalina, notre cuisinière préférée vous invite à voir ce qui sort de ses fourneaux : garanti produits du pays et cuisine provençale labellisée « fouarço bouan ! ». Sarà Laurens continue à décortiquer la vie (oh ! combien pas possible) d’une professeure d’occitan. Et les mots mêlés de Reinat Toscano vous amuseront tout en vous imprégnant de niçois. Mais c’est en français que Philippe Langevin vous révèlera ce qui nous attend avec la Métropole d’Aix-Marseille. Elle n’est pas encore née que les consultants en font leur Far West. Petit problème, la réalité sociale est dure sous le soleil, et imposer ses fantasmes économiques sans en tenir compte est voué à l’échec.
Mais s’abonner au mensuel Aquò d’Aquí, si c’est bien sûr pouvoir lire ce qui ne figure pas sur notre site, c’est aussi un acte de solidarité bien comprise. Avec les 25 € de cet abonnement annuel, vous financez en fait l’accès des plus jeunes à l’information en lenga nòstra. Les moins de trente ans qui espèrent un avenir, de stage en CDD, d’école en université, peuvent grâce à ce financement participatif, continuer à lire de l’info en occitan sur notre site web, lui d’accès gratuit.
Et ce n’est pas une vue de l’esprit. Ils sont plusieurs milliers. Avec vous, grâce à votre effort financier, le provençal, le niçois, l’alpin, passent à une nouvelle génération, concernée par le monde dans lequel elle vit.
Abonnez-vous ! Aidez les.
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Mais oui ! Il existe un plan du Canal de Provence pour irriguer la vigne provençale. L’enjeu, c’est l’adaptation au changement climatique. Pourquoi plutôt ne pas adapter notre manière de travailler la vigne ? Rétorquent des viticulteurs opposés à ce qui leur apparaît comme la porte ouverte à l’extension des zones de villas avec piscine. Ceux-là doivent-ils mettre de l’eau dans leur vin ? Aquò d’Aquí ouvre le débat, avec les professionnels concernés. D’ailleurs on pourra le poursuivre le 5 février dans un domaine viticole de Pourrières (83), au pied du Venturi. Vous y êtes invités !
Dans ce numéro 284, que nos abonnés recevront vers le 25 janvier, vous trouverez aussi des contenus qui ne figurent pas sur notre édition web : la chronique de Médéric Gasquet-Cyrus, « l’occitan au quartier », qui est ici souvent du francitan, décliné avec malice par le chroniqueur de France Bleue Provence. Pascalina, notre cuisinière préférée vous invite à voir ce qui sort de ses fourneaux : garanti produits du pays et cuisine provençale labellisée « fouarço bouan ! ». Sarà Laurens continue à décortiquer la vie (oh ! combien pas possible) d’une professeure d’occitan. Et les mots mêlés de Reinat Toscano vous amuseront tout en vous imprégnant de niçois. Mais c’est en français que Philippe Langevin vous révèlera ce qui nous attend avec la Métropole d’Aix-Marseille. Elle n’est pas encore née que les consultants en font leur Far West. Petit problème, la réalité sociale est dure sous le soleil, et imposer ses fantasmes économiques sans en tenir compte est voué à l’échec.
Mais s’abonner au mensuel Aquò d’Aquí, si c’est bien sûr pouvoir lire ce qui ne figure pas sur notre site, c’est aussi un acte de solidarité bien comprise. Avec les 25 € de cet abonnement annuel, vous financez en fait l’accès des plus jeunes à l’information en lenga nòstra. Les moins de trente ans qui espèrent un avenir, de stage en CDD, d’école en université, peuvent grâce à ce financement participatif, continuer à lire de l’info en occitan sur notre site web, lui d’accès gratuit.
Et ce n’est pas une vue de l’esprit. Ils sont plusieurs milliers. Avec vous, grâce à votre effort financier, le provençal, le niçois, l’alpin, passent à une nouvelle génération, concernée par le monde dans lequel elle vit.
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