
Avec l’aimable autorisation d’Alain Barthelémy-Vigouroux qui a organisé la masse de notes et d’enregistrements issus de ce travail, nous vous en offrons un morceau chaque semaine, en vous recommandant d’acquérir le livre édité par l’Association Pour l’Enseignement de la Langue d’Oc .
Coup de bol…
il est né coiffé, recouvert d’une membrane porte chanceux
Riche coma un masc
riche comme un sorcier
An trovat la topina
ils ont trouvé le pot, le magot
Pour rentrer les foins, fallait s’entraider
Les voisins aidaient pour rentrer les foins, les fenils n’étant pas pratiques il fallait y être plusieurs. Certaines matinées nous ne faisions que rentrer le fourrage, à raison de trois ou quatre charretées, autant chez le voisin. Après quoi on se lavait volontiers.