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Ce numéro de fin d'année est au bouclage actuellement ; pour la 351e fois le miracle s'opère. Contre vents et marées, avec l'aide de ses lecteurs, il apporte un regard occitan sur les questions de société. Et il le fait en occitan, dans la grande variété de ses dialectes et dans l'optique de vous aider à récupérer la langue du pays.
Mais quel défi ! relevez-le avec l'équipe éditrice !
Mais quel défi ! relevez-le avec l'équipe éditrice !
Mayotte, tensons, biodiversité, jeune prometteur... et soutiens au journal
Dans ce numéro nous vous invitons, en gascon du Couserans, à faire connaissance avec Mathys, dix-neuf ans, qui se "fout d'être à la mode" mais trace déjà son chemin dans l'univers de la musique trad, tout en poursuivant ses études de langues à l'université. Nous vous signalons cet article conséquent si, en particulier, vous êtes enseignant. Vos élèves auront peut-être à cœur de s'intéresser à quelqu'un qu'ils sentiront proche par l'âge et l'expérience.
Autre témoin dans ce numéro, Florence Faure-Brac, la botaniste dans le domaine occitan, dont vous avez apprécié les chroniques végétales mois après mois durant trois ans. Elle nous dit le défi de nommer en occitan les plantes utiles, tant le nom peut varier localement, et nous fait entrer dans la problématique de la formation à la biodiversité en France, indispensable, pourtant trop faible.
Pour rester sur le thème de la biodiversité, vous en apprendrez sur la relation complexe et gagnant-gagnant que l'abeille entretient avec l'électricité, mais aussi sur l'intelligence insoupçonnée du corbeau.
Et en matière d'actualité occitanise, savez vous que les Rencontres occitans de Provence pourraient bien survivre à son inspiratrice Anne-Marie Poggio ? Cela dépendra du public.
Nous vous engageons aussi à suivre Patrice Portier, dit PatriOc, dans les paysages sublimes qu'il visite, de treks en randos, déployant partout le drapeau de son identité revendiquée.
Faites aussi un détour au XIIIe siècle avec Felip Martel, pour apprendre que les ethnotypes, à l'époque déjà ça existait !
Et revenez au XXIe siècle avec Joaquim Blasco, car il analyse pour vous les événements tragiques de l'ile de Mayotte, où lui-même a vécu quinze ans. La situation, pour complexe qu'elle est, mérite d'être expliquée mieux que ne le font depuis Paris les médias de grande audience (mais pas toujours de grande intelligence).
Enfin, nous en terminerons par là : vous n'ignorez pas que notre journal vit dans la tourmente depuis deux mois. Il doit faire absolument baisser le niveau de sa dette, tout en assurant aujourd'hui sa survie, demain son développement.
Pour y parvenir l'ultime revue sociétale en occitan vous demande un effort : abonnez vous, réabonnez vous, faites un don, faites connaître ce journal...Là nous avons besoin de vous pour que la flamme continue d'éclairer, en lenga nòstra.
Des artistes et des responsables associatifs s'expriment dans ce numéro, et vous donnent leurs raisons pour soutenir Aquò d'Aquí. Découvrez leurs arguments dans ce numéro de fin d'année.
Autre témoin dans ce numéro, Florence Faure-Brac, la botaniste dans le domaine occitan, dont vous avez apprécié les chroniques végétales mois après mois durant trois ans. Elle nous dit le défi de nommer en occitan les plantes utiles, tant le nom peut varier localement, et nous fait entrer dans la problématique de la formation à la biodiversité en France, indispensable, pourtant trop faible.
Pour rester sur le thème de la biodiversité, vous en apprendrez sur la relation complexe et gagnant-gagnant que l'abeille entretient avec l'électricité, mais aussi sur l'intelligence insoupçonnée du corbeau.
Et en matière d'actualité occitanise, savez vous que les Rencontres occitans de Provence pourraient bien survivre à son inspiratrice Anne-Marie Poggio ? Cela dépendra du public.
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Faites aussi un détour au XIIIe siècle avec Felip Martel, pour apprendre que les ethnotypes, à l'époque déjà ça existait !
Et revenez au XXIe siècle avec Joaquim Blasco, car il analyse pour vous les événements tragiques de l'ile de Mayotte, où lui-même a vécu quinze ans. La situation, pour complexe qu'elle est, mérite d'être expliquée mieux que ne le font depuis Paris les médias de grande audience (mais pas toujours de grande intelligence).
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