Il est encore temps de vous abonner pour le recevoir
Cocanha ! Vous serez trois-cents de plus à profiter de notre mensuel. Nous devions absolument gagner 300 nouveaux abonnés, pour compenser la baisse des subventions publiques qui, brutalement, en mai dernier, avait mis en danger l’existence d’Aquò d’Aquí.
Nouvelle formule en novembre, fête des abonnés en 2017...c'est le moment de nous rejoindre
Ces nouveaux abonnés, et les autres qui nous faisaient déjà confiance pour apporter information et analyse en lenga nòstra, ont permis de redresser la situation, cette année. Leurs dons, au-delà du prix de l’abonnement, vont même nous permettre de lancer, dès novembre, une nouvelle formule pour ce journal. Puisque vous plébiscitez sa continuation, notre responsabilité est de l’améliorer, de le rendre encore plus digne de vous.
Pour autant, nous ne sommes pas encore « durables », « soutenables ». Soumis à un retard de versements des subventions qui nous restent, à un défaut de trésorerie, Aquò d’Aquí reste fragile, voire très fragile. Seuls vos efforts, lecteurs conscients, nous garantissent un avenir.
En 2017 nous entendons bien fêter avec vous dignement notre trentième anniversaire. Trente ans à parler culture en partage, dignité, convivialité….larguessa, paratge, convivència. Nous en reparlerons. Pour cette fête envisagée, vous viendrez avec un journal en couleurs, rafraîchi, que vous aurez de la fierté à arborer.
Mais pour cela aidez-nous encore : faites nous connaître, parlez de notre action pour la langue d’oc, de notre passion pour les cultures de notre pays, de notre souci d’y voir vivre, travailler et décider ses habitants. Bref, faites-vous nos ambassadeurs.
Et dites bien qu’il est encore temps de recevoir notre numéro de septembre. Celui-ci vous présente notre enquête sur l’enseignement de la langue régionale au collège. Sur trois pages, témoignages, éclairages, analyses vous disent en quoi ça va mal, et pourquoi ça ne s’arrangera pas tout seul. Mais des pistes de reviscolament existent aussi. Nous en parlons.
Il interroge aussi Patrick Hutchinson : l’histoire de la conquête des terres occitanes par Simon de Montfort, voici 800 ans, a-t-elle à voir avec la crise de notre société aujourd’hui ? Comme un miroir tendu à travers le temps, oui ! nous dit le dramaturge écossais qui vient de triompher à Aix avec sa Crozada d’uèi. Des cathares aux migrants, d’Azalaïs au retour de l’ordre puritain nationaliste, hier nous prévient pour demain.
Gérard Phavorin vous dit, crayon en mains, sur une page, combien votre journal se remet, mais aussi combien les sœurs rivales d’Occitanie se charpignent pour une question d’appellation.
Et Médéric Gasquet-Cyrus, lui, a décidé de faire des étincelles, en cette fin d’été marqué par les incendies de forêts.
Rubriques, chroniques, billets, brèves, en particulier le Dedins defòra de Sarà Laurens et les mots mesclats de Reinat Toscano, complètent ce tour d’horizon de l’actualité en français et en occitan, pour vous dire la Provence, bien élargie.
Vous les découvrirez en chantant. Car c’est en effet Michel Bianco, le fondateur du Corrou de Berra, à qui nous laissons largement la place de nous raconter l’art de la polyvocalité, telle qu’elle a conquis les scènes d’Europe à partir des montagnes du pays niçois. Eh ! Oui… C’est comme on vous le dit : « aquò d’aquí ! »
Pour autant, nous ne sommes pas encore « durables », « soutenables ». Soumis à un retard de versements des subventions qui nous restent, à un défaut de trésorerie, Aquò d’Aquí reste fragile, voire très fragile. Seuls vos efforts, lecteurs conscients, nous garantissent un avenir.
En 2017 nous entendons bien fêter avec vous dignement notre trentième anniversaire. Trente ans à parler culture en partage, dignité, convivialité….larguessa, paratge, convivència. Nous en reparlerons. Pour cette fête envisagée, vous viendrez avec un journal en couleurs, rafraîchi, que vous aurez de la fierté à arborer.
Mais pour cela aidez-nous encore : faites nous connaître, parlez de notre action pour la langue d’oc, de notre passion pour les cultures de notre pays, de notre souci d’y voir vivre, travailler et décider ses habitants. Bref, faites-vous nos ambassadeurs.
Et dites bien qu’il est encore temps de recevoir notre numéro de septembre. Celui-ci vous présente notre enquête sur l’enseignement de la langue régionale au collège. Sur trois pages, témoignages, éclairages, analyses vous disent en quoi ça va mal, et pourquoi ça ne s’arrangera pas tout seul. Mais des pistes de reviscolament existent aussi. Nous en parlons.
Il interroge aussi Patrick Hutchinson : l’histoire de la conquête des terres occitanes par Simon de Montfort, voici 800 ans, a-t-elle à voir avec la crise de notre société aujourd’hui ? Comme un miroir tendu à travers le temps, oui ! nous dit le dramaturge écossais qui vient de triompher à Aix avec sa Crozada d’uèi. Des cathares aux migrants, d’Azalaïs au retour de l’ordre puritain nationaliste, hier nous prévient pour demain.
Gérard Phavorin vous dit, crayon en mains, sur une page, combien votre journal se remet, mais aussi combien les sœurs rivales d’Occitanie se charpignent pour une question d’appellation.
Et Médéric Gasquet-Cyrus, lui, a décidé de faire des étincelles, en cette fin d’été marqué par les incendies de forêts.
Rubriques, chroniques, billets, brèves, en particulier le Dedins defòra de Sarà Laurens et les mots mesclats de Reinat Toscano, complètent ce tour d’horizon de l’actualité en français et en occitan, pour vous dire la Provence, bien élargie.
Vous les découvrirez en chantant. Car c’est en effet Michel Bianco, le fondateur du Corrou de Berra, à qui nous laissons largement la place de nous raconter l’art de la polyvocalité, telle qu’elle a conquis les scènes d’Europe à partir des montagnes du pays niçois. Eh ! Oui… C’est comme on vous le dit : « aquò d’aquí ! »
Aquò d'Aquí va mieux grâce à ses abonnés et à ses donateurs, comme vous le dessine Gérard Phavorin...à l'humour caustique duquel nous consacrons une page du n° de septembre. "Veirem Berra" est une expression de marin provençal : "le navire arrivé à l'étang de Berre, finies les tempêtes", autrement dit, "on arrivera à bon port ! On réussira "