Créer une maison d'édition et la consacrer d'une part aux auteurs de terroir qui disent celui-ci, et à la langue occitane tel est le pari réussi de Martine Prévot, que nous interrogeons ce mois-ci. Et que la fondatrice d'Edite moi pense en pédagogue ne nous déplait pas.
Dans ce numéro de mai, pourtant déjà très complet sur les enjeux portés par la loi Molac de protection des langues régionales et sur ses détracteurs comme sur ses soutiens, nous faisons la part belle aux initiatives qui cherchent à gagner ou satisfaire un public pour la langue occitane.
Dans ce numéro de mai, pourtant déjà très complet sur les enjeux portés par la loi Molac de protection des langues régionales et sur ses détracteurs comme sur ses soutiens, nous faisons la part belle aux initiatives qui cherchent à gagner ou satisfaire un public pour la langue occitane.
Ainsi de Priscilla Gil, la jeune professeure des écoles de Béziers qui traduit la Langue des Signes Françaises pour les occitanophones, et ce faisant initie les malentendants à la langue occitane. Elle utilise pour cela bien sur les réseaux sociaux.
Et Si nous vous convions à vous intéresser à l'univers des jeux vidéos avec Artur Patou, jeune étudiant qui révèle d'entrée de jeu des qualités rédactionnelles et un provençal au top, il n'en reste pas moins qu'une grande partie de nos articles ce mois de mai sont proposés en languedocien. Nous atteignons ainsi un bel équilibre entre provençal, languedocien, auvergnat et alpin d'oc, . Nous attendons de bonnes volontés gasconnes pour aller un peu plus loin !
C'est un fait, bien que les difficultés financières d'Aquò d'Aquí perdurent, le nombre de nos abonnés augmente sans discontinuer depuis un an. Plus 7% nous l'avons déjà dit, et peut-être plus quand la trésorière de l'association éditrice d'Aquò d'Aquí aura actualisé ses statistiques. Mais nous savons déjà que pour bonne part les nouveaux abonnés vivent entre Bordeaux et Nîmes.
Ne pas laisser les Occitans, où qu'ils vivent, orphelins d'une information d'actualité sociétale de qualité, voilà notre volonté.
Si nous pratiquions la réalité des prix, Aquò d'Aquí couterait trois fois plus cher. Mais nous ne voulons exclure personne de l'accès à un magazine occitan de qualité. Alors nous serrons la ceinture, et notre trésorière nous le rappelle souvent, nous assurons cette mission en marchant sur la corde raide. Il ne s'agit pas de perdre l'équilibre !
L'équilibre nous le maintenons grâce à nos lecteurs ; rappelons qu'un tiers d'entre eux font un don, parfois modeste, parfois important, mais toujours bienvenu.
Nous vous donnons rendez-vous dans un mois pour notre numéro de juin, en espérant que nombre d'entre vous d'ici là auront choisi de faire plus soutenable Aquò d'Aquí, en choisissant de s'abonner. Ils pourront le faire en ligne de manière sécurisée, ou à l'ancienne en envoyant un chèque à l'adresse du journal.
D'avance qu'ils en soient remerciés.
Et Si nous vous convions à vous intéresser à l'univers des jeux vidéos avec Artur Patou, jeune étudiant qui révèle d'entrée de jeu des qualités rédactionnelles et un provençal au top, il n'en reste pas moins qu'une grande partie de nos articles ce mois de mai sont proposés en languedocien. Nous atteignons ainsi un bel équilibre entre provençal, languedocien, auvergnat et alpin d'oc, . Nous attendons de bonnes volontés gasconnes pour aller un peu plus loin !
C'est un fait, bien que les difficultés financières d'Aquò d'Aquí perdurent, le nombre de nos abonnés augmente sans discontinuer depuis un an. Plus 7% nous l'avons déjà dit, et peut-être plus quand la trésorière de l'association éditrice d'Aquò d'Aquí aura actualisé ses statistiques. Mais nous savons déjà que pour bonne part les nouveaux abonnés vivent entre Bordeaux et Nîmes.
Ne pas laisser les Occitans, où qu'ils vivent, orphelins d'une information d'actualité sociétale de qualité, voilà notre volonté.
Si nous pratiquions la réalité des prix, Aquò d'Aquí couterait trois fois plus cher. Mais nous ne voulons exclure personne de l'accès à un magazine occitan de qualité. Alors nous serrons la ceinture, et notre trésorière nous le rappelle souvent, nous assurons cette mission en marchant sur la corde raide. Il ne s'agit pas de perdre l'équilibre !
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Nous vous donnons rendez-vous dans un mois pour notre numéro de juin, en espérant que nombre d'entre vous d'ici là auront choisi de faire plus soutenable Aquò d'Aquí, en choisissant de s'abonner. Ils pourront le faire en ligne de manière sécurisée, ou à l'ancienne en envoyant un chèque à l'adresse du journal.
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