Chez nos abonnés dès le 10 octobre
Ce mois-ci votre numéro d'Aquò d'Aquí s'intéresse à ce que cache le masque, à l'école. Il vous parle de la problématique des artistes d'oc, après un été sans concerts. Et vous informe de l'état de la langue occitane dans l'ouest des pays d'oc, entre autres. N'hésitez pas à rejoindre nos abonnés, leur nombre augmente et ils reconnaissent la qualité de notre titre.
Enseignement masqué, inquiétude des artistes d'oc, main basse sur les terres arables d'Ukraine, réussite du Collectif Prouvenço, critiques de livres et disques d'oc...
Votre numéro d'octobre vous proposera un dossier consacré à l'enseignement de la langue d'oc sous divers angles. D'abord, comme tout enseignant le professeur d'occitan-langue d'oc est confronté cette rentrée avec la problématique sanitaire. De Nice à Pau, les profs nous disent combien de fatigue et de lassitude représente cette nouvelle plaie : passer de pédagogue à surveillant de tenue du masque et d'hygiène des mains de dizaines d'élèves dont on ne peut se souvenir, ne voyant jamais ce qui les distingue derrière le masque !
Plus grave encore, le traumatisme des premières rentrées scolaires, en maternelle, les enfants sont confrontés à des adultes inconnus, masqués, ne les touchant pas, et rendus nerveux par le sous effectif. Une psychologue scolaire évoque cette situation pour nos lecteurs.
Et puis, que faut-il faire de la réforme des lycées ? La rejeter frontalement, composer, la positiver ? Ces options sont abordées dans ce numéro d'Aquò d'Aquí. Sachez que partout le 10 octobre, quand nos abonnés recevront ce journal, des manifestations réclameront des aménagements favorables à l'enseignement de toutes les langues minoritaires de l'hexagone. Initiateur d'un mouvement unitaire des langues minoritaires dans l'enseignement, le député européen François Alfonsi nous parle de ce collectif né voici un an, et qui aura son importance lors des prochaines élections des conseils régionaux.
Vous vous intéresserez aussi à la génèse de l'enseignement public bilingue dans le Tarn et Garonne. Ce mois-ci Didier Mir vous fait rencontrer un pionnier. Ce dernier vous apprendra qu'il faut savoir agir contre sa propre administration pour réussir.
La crise sanitaire fait souffrir profs et élèves, mais tout autant les artistes. Nous voyons avec certains la réalité de leurs empêchements...Et croyez les, ce n'est pas qu'une question d'argent. Certains toutefois positivent et inventent en cette rentrée; lisez notre portrait de la troubadouresse niçoise Zine, à ce sujet.
Comme l'argent public est chichement alloué à la promotion de la langue régionale ! il faut se battre pour quelques euros publics...Enfin, certains s'en tirent mieux, en jouant sur la pression politique. Le Collectif Prouvenço inaugurera son Observatoire de la langue provençale, dans le Vaucluse, fin octobre. Ce groupe très bien doté a intelligemment organisé une manifestation à Arles, le jour même où tout l'occitanisme provençal se rendait à Montpellier. C'était en septembre 2015 et la stratégie du Collectif paie. Nous l'analysons.
Enfin, nous le répétons, grâce à votre soutien nous parvenons à vous proposer un mensuel toujours plus attrayant, allant au fond des problématiques, et ancré dans la vie réelle. Un abonné, recevant en Aquitaine notre journal, nous a téléphoné cette semaine : "vous faites quelque chose de très professionnel, il n'y a vraiment aucune raison de rougir face à ce qu'on peut trouve en kiosque". Merci cher Alain! Nous ne ménageons pas nos efforts pour cela. Faire un journal en occitan réserve quelques satisfactions.
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Plus grave encore, le traumatisme des premières rentrées scolaires, en maternelle, les enfants sont confrontés à des adultes inconnus, masqués, ne les touchant pas, et rendus nerveux par le sous effectif. Une psychologue scolaire évoque cette situation pour nos lecteurs.
Et puis, que faut-il faire de la réforme des lycées ? La rejeter frontalement, composer, la positiver ? Ces options sont abordées dans ce numéro d'Aquò d'Aquí. Sachez que partout le 10 octobre, quand nos abonnés recevront ce journal, des manifestations réclameront des aménagements favorables à l'enseignement de toutes les langues minoritaires de l'hexagone. Initiateur d'un mouvement unitaire des langues minoritaires dans l'enseignement, le député européen François Alfonsi nous parle de ce collectif né voici un an, et qui aura son importance lors des prochaines élections des conseils régionaux.
Vous vous intéresserez aussi à la génèse de l'enseignement public bilingue dans le Tarn et Garonne. Ce mois-ci Didier Mir vous fait rencontrer un pionnier. Ce dernier vous apprendra qu'il faut savoir agir contre sa propre administration pour réussir.
La crise sanitaire fait souffrir profs et élèves, mais tout autant les artistes. Nous voyons avec certains la réalité de leurs empêchements...Et croyez les, ce n'est pas qu'une question d'argent. Certains toutefois positivent et inventent en cette rentrée; lisez notre portrait de la troubadouresse niçoise Zine, à ce sujet.
Comme l'argent public est chichement alloué à la promotion de la langue régionale ! il faut se battre pour quelques euros publics...Enfin, certains s'en tirent mieux, en jouant sur la pression politique. Le Collectif Prouvenço inaugurera son Observatoire de la langue provençale, dans le Vaucluse, fin octobre. Ce groupe très bien doté a intelligemment organisé une manifestation à Arles, le jour même où tout l'occitanisme provençal se rendait à Montpellier. C'était en septembre 2015 et la stratégie du Collectif paie. Nous l'analysons.
Enfin, nous le répétons, grâce à votre soutien nous parvenons à vous proposer un mensuel toujours plus attrayant, allant au fond des problématiques, et ancré dans la vie réelle. Un abonné, recevant en Aquitaine notre journal, nous a téléphoné cette semaine : "vous faites quelque chose de très professionnel, il n'y a vraiment aucune raison de rougir face à ce qu'on peut trouve en kiosque". Merci cher Alain! Nous ne ménageons pas nos efforts pour cela. Faire un journal en occitan réserve quelques satisfactions.
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