vers le dix novembre chez ses abonnés. Il est temps de les rejoindre !
Les abonnés d’Aquò d’Aquí, le magazine mensuel, auront accès à la liste des quatre vingt trois donateurs qui, depuis le mois de mai, ont financé plus du prix d’un numéro de ce mensuel, l’ultime qui propose de l’actualité sociétale en occitan. Dans le même numéro, une abonnée marseillaise nous explique ses tentatives pugnaces pour faire abonner la Bibliothèque à vocation régionale de Marseille. Pour l’heure celle-ci résiste, arguant qu’elle est déjà abonnée à notre confrère Prouvenço d’aro…
Assassin en série, Entités de la normalisation de l'occitan, lecture publique pour tous, cinéma un avenir pour la Provence ?...
Il en est ainsi de nos abonnés, dont le nombre croît depuis le début de la pandémie, quand, pour une énième fois nous avons eu à évoquer des difficultés financières, inscrites semble t’il dans nos gènes ! C’est que, pour que notre journal reste accessible – et avec lui la langue d’oc – à tous, nous en maintenons bas le prix, de manière économiquement déraisonnable.
Mais voilà ! La solidarité d’une grande partie de nos abonnés permettra aux autres de profiter de nos informations, et de chroniques que vous plébiscitez dans vos (nombreux) courriers, en langue occitane dans à peu près toutes ses variétés. Vous savez à quel point il est important que l’occitan soit considéré comme une « langue normale », et chaque donateur y contribue.
Dans ce numéro de novembre, qui vient juste d’être bouclé et que vous recevrez dans une grosse dizaine de jours – il est temps de passer le Rubicon, abonnez-vous dès maintenant vous serez certains de le recevoir – nous évoquons une question difficile, et nous n’aurons pas que des amis : les rapports de l’Office public de la langue occitane avec l’Institut d’Estudis Occitans. Comment l’organisme public de promotion de notre langue peut-il refuser de soutenir le milieu associatif dont cette même promotion reste le leit-motiv absolu ? Nous n’avons pas toutes les réponses, mais d’une part nous apportons un éclairage indispensable, d’autre part nous entrevoyons une solution.
Idem avec la normalisation de l’occitan en graphie classique : le départ du Congrès permanent de la langue occitane d’une bonne part de son Conseil linguistique qui réactive le Conseil de la langue occitane, pour être compris doit être mis en perspective. Las ! Ces questions attisent les haines durables. Aussi, nous avons choisi de vous présenter les trois organismes qui cherchent à proposer un « occitan viable ». Et nous avons demandé à chacun de se présenter lui-même. Ainsi vous aurez une idée, et de l’enjeu, et des solutions de chacun.
A Marseille, Emmanuel Macron a quelques vélléités de solutionner les immenses problèmes de cette ville, la plus importante des pays d’oc, sans qu’on sache encore s’il s’agit d’une volonté durable ou d’une posture électorale. En tout cas dans la cité phocéenne, il a trouvé, semble t’il avec étonnement, un plan de développement de l’activité cinématographique. Pagnol ressuscité ? Nous évoquons tous ces projets avec le maire adjoint à la culture, Jean-Marc Coppola. Il faut se souvenir que cet homme politique, alors conseiller régional, avait quasi imposé à son « patron », Michel Vauzelle, une motion qui posait « l’occitan langue de la Région Provence Alpes Cote d’Azur ». C’était en 2003. Dans ce dossier consacré au cinéma nous évoquons aussi le documentaire que Christian Philibert consacre au poète Germain Nouveau, dont la manière d’écrire français vers 1870, a permis de comprendre que ses tournures de phrases de Provençal lui donnaient le statut de co auteur des Illuminations, d’Arthur Rimbaud, pas moins !
Oh, il y a bien autre chose dans ce numéro de novembre, en particulier l’analyse fine que l’écrivaine Sarà Laurens fait du tueur en série dit « Le grêlé », en provençal.
Mais le mieux pour le découvrir n’est-il pas de vous laisser tenter par l’abonnement ?
Mais voilà ! La solidarité d’une grande partie de nos abonnés permettra aux autres de profiter de nos informations, et de chroniques que vous plébiscitez dans vos (nombreux) courriers, en langue occitane dans à peu près toutes ses variétés. Vous savez à quel point il est important que l’occitan soit considéré comme une « langue normale », et chaque donateur y contribue.
Dans ce numéro de novembre, qui vient juste d’être bouclé et que vous recevrez dans une grosse dizaine de jours – il est temps de passer le Rubicon, abonnez-vous dès maintenant vous serez certains de le recevoir – nous évoquons une question difficile, et nous n’aurons pas que des amis : les rapports de l’Office public de la langue occitane avec l’Institut d’Estudis Occitans. Comment l’organisme public de promotion de notre langue peut-il refuser de soutenir le milieu associatif dont cette même promotion reste le leit-motiv absolu ? Nous n’avons pas toutes les réponses, mais d’une part nous apportons un éclairage indispensable, d’autre part nous entrevoyons une solution.
Idem avec la normalisation de l’occitan en graphie classique : le départ du Congrès permanent de la langue occitane d’une bonne part de son Conseil linguistique qui réactive le Conseil de la langue occitane, pour être compris doit être mis en perspective. Las ! Ces questions attisent les haines durables. Aussi, nous avons choisi de vous présenter les trois organismes qui cherchent à proposer un « occitan viable ». Et nous avons demandé à chacun de se présenter lui-même. Ainsi vous aurez une idée, et de l’enjeu, et des solutions de chacun.
A Marseille, Emmanuel Macron a quelques vélléités de solutionner les immenses problèmes de cette ville, la plus importante des pays d’oc, sans qu’on sache encore s’il s’agit d’une volonté durable ou d’une posture électorale. En tout cas dans la cité phocéenne, il a trouvé, semble t’il avec étonnement, un plan de développement de l’activité cinématographique. Pagnol ressuscité ? Nous évoquons tous ces projets avec le maire adjoint à la culture, Jean-Marc Coppola. Il faut se souvenir que cet homme politique, alors conseiller régional, avait quasi imposé à son « patron », Michel Vauzelle, une motion qui posait « l’occitan langue de la Région Provence Alpes Cote d’Azur ». C’était en 2003. Dans ce dossier consacré au cinéma nous évoquons aussi le documentaire que Christian Philibert consacre au poète Germain Nouveau, dont la manière d’écrire français vers 1870, a permis de comprendre que ses tournures de phrases de Provençal lui donnaient le statut de co auteur des Illuminations, d’Arthur Rimbaud, pas moins !
Oh, il y a bien autre chose dans ce numéro de novembre, en particulier l’analyse fine que l’écrivaine Sarà Laurens fait du tueur en série dit « Le grêlé », en provençal.
Mais le mieux pour le découvrir n’est-il pas de vous laisser tenter par l’abonnement ?