Aquò d’Aquí appelle à votre générosité pour franchir un cap difficile

Ce n’est certes pas la première fois qu’Aquò d’Aquí demande à ses lecteurs et ami(e)s une aide pour surmonter un obstacle. S’il le fait encore c’est qu’il est devant un risque vital.

Nous savons que vous tenez toutes et tous à sa survie. Si notre journal sombre, il n’y aura pas un autre Aquò d’Aquí pour le remplacer. La place qu’il a tenue depuis bientôt quarante ans dans le mouvement régional sera vide pour longtemps et peut-être pour toujours.

Pour continuer à paraître malgré les entraves, il a dû contracter des dettes qu’il peine à éponger, et faire face à l’emballement des prix qui ont à chaque fois submergé les efforts déployés pour le mettre à flot. A titre d’exemple, la seule parution d’un numéro coûte à présent 2300 € pour les seuls frais de l’imprimerie et de l’expédition.

Avec le départ à la retraite de Michel Neumuller, qui continuera néanmoins à assister le journal de son expérience et de ses apports, une équipe profondément renouvelée et rajeunie a accepté de prendre les rênes d’Aquò d’Aquí. Elle est prête à faire face au défi de lui faire passer le gué. Mais elle a besoin d’une situation apurée, d’un modèle qui soit moins dépendant des aléas des subventions, d’assurer dans l’immédiat la continuité de la parution qui garantit la régularité des abonnements et le statut d’organe de presse.

Nous n’avons jamais fait appel en vain à votre aide. Nous savons que nous pouvons compter sur vous pour un but qui vous tient à cœur autant qu’à nous.