
C’est aussi un des piliers du Cercle Occitan de La Seyne, ce qui expliquera que cet enfant d’immigrés italiens consacre à la fin de « Les Illusionnistes », quelques pages et en italien et en occitan.
Les illusionnistes c’est l’histoire, de port en port, d’une enquête dramatique. Le trafic d’organes humains dont il est question mise sur la pauvreté des donneurs, et sur la richesse des receveurs.
Elle implique la maffia italienne et des réseaux politico-maffieux kosovars, mais c’est le caractère tentaculaire et transnational de l’empire du crime qui effraie dans cette histoire.
Alain Andréoli, le skipper, a placé ses protagonistes sur un voilier, rien d’étonnant à cela, il connait ce monde-là. Et la capacité de déplacement de l’esquif, de Naples en Corse et ailleurs devient une condition de la réussite de l’enquête.
