Nous le voyons ici entouré par le président de l’Académie, l’archéologue Marc Heijman, et sa marraine, Odile Caylux, en charge du patrimoine à la Ville d’Arles.
Felip Rigaud, les lecteurs d’Aquò d’Aquí, le connaissent, parce qu’il est président de l’IEO d’Arles, mais surtout parce qu’il y a quelques années, il a commis un ouvrage de référence, « Lettres de la Costière », sur les vigies mobiles de Provence maritime, face aux attaques de pirates, entre les XIVè et XVIè siècles, quand les syndics s’avertissaient entre Hyères et Fos de l’apparition de voiles suspectes. Les billets étaient rédigés en occitan avant l’édit de Villers-Coterrêts, et constituent aujourd’hui de précieuses traces de la langue d’information à l’époque.
L’Académie d’Arles a été créée en 1666.
