Créé il y a dix ans, ce stage de provençal annuel se déroulera à Villeperdrix les 4, 5 et 6 juillet 2013.
D'abord conçu à Vaison, le projet vit finalement le jour à l'Est de Nyons grâce au travail de Jean-Louis Ramel et de Jean-Bernard Plantevin, connus dans l’univers musical régional, avec le soutien de l’assocation Culture et langue d'oc, de Croupatas et de l'Université Nyonnaise du Temps Libre.
Précurseurs dans le milieu, les animateurs du stage ont su attirer chaque année des participants de tous horizons, au nombre plutôt stable, avec 25 à 40 demandes selon le jour.
« C'est un noyau intéressant, bien vite un cercle d'amitié » note Jean-Bernard Plantevin, permettant de « cultiver la langue, la culture et surtout des liens, afin d'aller au-delà de nos différences et renforcer notre identité personnelle ».
« On essaie de cultiver la tolérance lors du stage » insiste-t-il, « et puis c'est un endroit où l'on échange, car les tensions n'existent que s'il n'y a pas de communication » poursuit Jean-Louis Ramel.
Adieu les a priori, avec ce stage, les plus réticents pourront se sentir à l'aise. Plus qu'un simple stage de langue, ce projet se veut universaliste, ouvert, dans le mouvement.
D'abord conçu à Vaison, le projet vit finalement le jour à l'Est de Nyons grâce au travail de Jean-Louis Ramel et de Jean-Bernard Plantevin, connus dans l’univers musical régional, avec le soutien de l’assocation Culture et langue d'oc, de Croupatas et de l'Université Nyonnaise du Temps Libre.
Précurseurs dans le milieu, les animateurs du stage ont su attirer chaque année des participants de tous horizons, au nombre plutôt stable, avec 25 à 40 demandes selon le jour.
« C'est un noyau intéressant, bien vite un cercle d'amitié » note Jean-Bernard Plantevin, permettant de « cultiver la langue, la culture et surtout des liens, afin d'aller au-delà de nos différences et renforcer notre identité personnelle ».
« On essaie de cultiver la tolérance lors du stage » insiste-t-il, « et puis c'est un endroit où l'on échange, car les tensions n'existent que s'il n'y a pas de communication » poursuit Jean-Louis Ramel.
Adieu les a priori, avec ce stage, les plus réticents pourront se sentir à l'aise. Plus qu'un simple stage de langue, ce projet se veut universaliste, ouvert, dans le mouvement.
Les organisateurs veulent créer un climat amical (photo AC)
Débats, musiques et sorties
« Lors des pré-soirées, on fait un débat autour d'un sujet actuel, et cette année c'est un élève de première qui mènera le débat, dans le cadre de son TPE » explique Jean-Bernard Plantevin.
Plusieurs ateliers seront proposés aux stagiaires. Vally Laget se chargera d'initier les stagiaires à la paléographie bilingue, Jean-Louis Ramel permettra aux élèves de « s'approprier des contes, apprendre à les raconter », tandis que Jean-Bernard Plantevin, qui vient de sortir son CD « Tron de disque », conduira l'animation musicale.
Une promenade est organisée avec visite à l'Abbaye de Bodon. A ne pas oublier, l'importance du gîte d'étape d'Angèle et le Moulin du Château, partenaires du stage. Enfin, les veillées seront également ouvertes au public.
Plusieurs ateliers seront proposés aux stagiaires. Vally Laget se chargera d'initier les stagiaires à la paléographie bilingue, Jean-Louis Ramel permettra aux élèves de « s'approprier des contes, apprendre à les raconter », tandis que Jean-Bernard Plantevin, qui vient de sortir son CD « Tron de disque », conduira l'animation musicale.
Une promenade est organisée avec visite à l'Abbaye de Bodon. A ne pas oublier, l'importance du gîte d'étape d'Angèle et le Moulin du Château, partenaires du stage. Enfin, les veillées seront également ouvertes au public.