Il faut que nous vous parlions un peu de cuisine...de cuisine internet, s'entend. La plupart de nos lecteurs nous arrivent via le moteur de recherche Google. C'est par ce véhicule télématique qu'ils finissent par s'abonner à notre lettre d'information hebdomadaire. Cette fréquentation en hausse est essentielle pour l'avenir de ce site, et partant, pour le partage de la langue occitane telle qu'elle se pratique de Nîmes à Cuneo. Or, le paradoxe est que nos titres en occitan sont un frein à ce partage!
Les règles de base de Google pour favoriser votre venue sont simplissimes, le moteur de recherche s'intéresse d'abord aux 70 premières lettres de nos titres. Quand nous titrons "La Routo", vous êtes deux cents à venir voir; si nous titrions "La Route", vous seriez deux mille. Les curieux qui découvrent leur affinité avec la langue régionale seraient plus nombreux, les autres zapperaient, mais garderaient en mémoire cette brève rencontre avec une France plurilingue.
La logique voudrait donc que, pour mieux exister et remplir notre mission - informer en langue occitane une population croissante et faire la démonstration qu'un public nombreux est demandeur pour cela - nous devrions commencer par vous proposer nos titres en ligne...en français, ou pourquoi pas, en anglais.
Si, sur le plan de l'efficacité numérique cette possibilité est à retenir, vous comprenez qu'elle nous gênerait un peu aux entournures. Peut-être faut-il l'envisager. Toute l'information serait en provençal, en gavot ou en niçois, sauf le titre. Le compromis n'est pas vraiment inacceptable.
Mais comme nous avons une alternative, nous pouvons l'essayer. Au lieu de miser sur ce moteur de recherche, si nous misions sur vous ? Lecteurs, vous seriez aussi prescripteurs. Ce n'est pas compliqué, il vous suffit d'écrire à vos amis, voire à tout votre répertoire, combien il vous semble important que ceux ci aillent voir un peu à quoi ressemble Aquò d'Aquí sur le web. Vous ajouteriez à votre message le lien du journal en ligne, qu'il vous suffit de copier sur la barre haute de votre page internet.
Après tout, le bouche à oreille à encore de l'avenir à l'heure d'internet, et le conseil d'ami à ami garde sa valeur. Disons le aussi, l'idée d'être au sein d'un réseau de milliers d'amis prêts à faire ce petit effort pour assurer plus d'audience à la langue d'oc, cela nous plaît.
Ceux qui le veulent peuvent aussi nous signaler, tout simplement, ceux qui pourraient être intéressés. Nous nous chargerions de leur faire connaître notre existence.
Nous espérons atteindre le millier d'abonnés à la rentrée de septembre. A Noël nous pourrions doubler ce chiffre. Quand on vous dira que vous parlez une langue morte, vous aurez quelques arguments pour affirmer qu'elle à l'air toujours bien vive. Lòngamai! longomai!
La logique voudrait donc que, pour mieux exister et remplir notre mission - informer en langue occitane une population croissante et faire la démonstration qu'un public nombreux est demandeur pour cela - nous devrions commencer par vous proposer nos titres en ligne...en français, ou pourquoi pas, en anglais.
Si, sur le plan de l'efficacité numérique cette possibilité est à retenir, vous comprenez qu'elle nous gênerait un peu aux entournures. Peut-être faut-il l'envisager. Toute l'information serait en provençal, en gavot ou en niçois, sauf le titre. Le compromis n'est pas vraiment inacceptable.
Mais comme nous avons une alternative, nous pouvons l'essayer. Au lieu de miser sur ce moteur de recherche, si nous misions sur vous ? Lecteurs, vous seriez aussi prescripteurs. Ce n'est pas compliqué, il vous suffit d'écrire à vos amis, voire à tout votre répertoire, combien il vous semble important que ceux ci aillent voir un peu à quoi ressemble Aquò d'Aquí sur le web. Vous ajouteriez à votre message le lien du journal en ligne, qu'il vous suffit de copier sur la barre haute de votre page internet.
Après tout, le bouche à oreille à encore de l'avenir à l'heure d'internet, et le conseil d'ami à ami garde sa valeur. Disons le aussi, l'idée d'être au sein d'un réseau de milliers d'amis prêts à faire ce petit effort pour assurer plus d'audience à la langue d'oc, cela nous plaît.
Ceux qui le veulent peuvent aussi nous signaler, tout simplement, ceux qui pourraient être intéressés. Nous nous chargerions de leur faire connaître notre existence.
Nous espérons atteindre le millier d'abonnés à la rentrée de septembre. A Noël nous pourrions doubler ce chiffre. Quand on vous dira que vous parlez une langue morte, vous aurez quelques arguments pour affirmer qu'elle à l'air toujours bien vive. Lòngamai! longomai!