Bien des lecteurs d'Aquò d'Aquí ont été surpris, le 8 avril, du vote écrasant des députés en faveur de la loi de Protection des langues régionales, avancées par le groupe parlementaire Libertés et Territoires. Pourtant une observation un peu fine des évènements qui ont conduits à cette issue aurait rassurée plus d'un.
Travail et stratégies parlementaires, occupation du terrain associatif
D'abord la création d'une solide coordination, Pour Que Vivent Nos Langues, à partir de l'automne 2019, capable de se mobiliser largement et partout le 10 octobre dernier, a crédibilisé le travail parlementaire qui avançait en parallèle.
Les nombreux messages favorables à la loi reçus par les députés français avant le vote ont réveillé chez certains le sentiment qu'il fallait faire quelque chose de concret pour leur culture régionale.
Pendant ce temps les groupes parlementaires et sénatoriaux rassemblant des régionalistes, mais pas que... travaillait ferme à un projet viable réglementairement. Et en effet au jour "J", peu d'objections pouvaient y être opposées.
Enfin, et Paul Molac le promoteur principal de l'affaire, le soulignait pour nous voici peu, le ras le bol des députés de la majorité face à "monsieur Niet", le ministre de l'Enseignement, a joué comme jamais le 8 avril.
Cent députés marcheurs ont voté pour le projet, et donc contre le gouvernement.
Il est à parier que désormais celui-ci assouplira son attitude...
Cela oui, semblait inespéré.
Nous vous invitons à prendre connaissance de notre dossier, au lendemain de cette journée historique.
Les nombreux messages favorables à la loi reçus par les députés français avant le vote ont réveillé chez certains le sentiment qu'il fallait faire quelque chose de concret pour leur culture régionale.
Pendant ce temps les groupes parlementaires et sénatoriaux rassemblant des régionalistes, mais pas que... travaillait ferme à un projet viable réglementairement. Et en effet au jour "J", peu d'objections pouvaient y être opposées.
Enfin, et Paul Molac le promoteur principal de l'affaire, le soulignait pour nous voici peu, le ras le bol des députés de la majorité face à "monsieur Niet", le ministre de l'Enseignement, a joué comme jamais le 8 avril.
Cent députés marcheurs ont voté pour le projet, et donc contre le gouvernement.
Il est à parier que désormais celui-ci assouplira son attitude...
Cela oui, semblait inespéré.
Nous vous invitons à prendre connaissance de notre dossier, au lendemain de cette journée historique.