Un peu plus chaque semaine, grâce à vous, lecteurs, nous réussissons un peu mieux notre pari, vous rassembler pour une information d’actualité en français pour vous parler des initiatives régionalistes ; et en occitan pour vous tenir au courant de l’actualité de la société en Provence Alpes Côte d’Azur.
Ces jours-ci la lettre d’information de ce site internet a accueilli son 900è abonné, nous laissant espérer que vous serez mille à Noël.
Ces jours-ci la lettre d’information de ce site internet a accueilli son 900è abonné, nous laissant espérer que vous serez mille à Noël.
Vous venez essentiellement de Provence Alpes Côte d’Azur, où vous êtes assez bien répartis. Du moins c’est ce que nous disent les statistiques du gestionnaire de www.aquodaqui.info, car vous ne dites pas tous où vous vivez.
Vous devez vous passer le mot, échanger notre adresse, car nous constatons que c’est par vagues géographiques que vous vous abonnez. Récemment, une trentaine d’habitants des Alpes-de-Haute Provence ont cliqué sur l’onglet « abonnements ». Il y avait eu aussi une vague niçoise au début de l’automne. Une onde marseillaise suivra peut-être notre article sur l’Ostau dau Païs Marselhés.
Une récente visite au Parlement Européen de Strasbourg devrait aussi nous voir arriver quelques députés du nord et de l’Est de l’Europe, ainsi que leurs collaborateurs, qui se sont montrés attentifs aux explications de notre journaliste.
Et nous avons maintenant de nombreux visiteurs italiens, catalans…et Polonais. Certains habitants de Majorque nous lisent à fond, restant en moyenne plus d’un quart d’heure à comparer notre occitan à leur catalan…Et en France, Paris devient notre deuxième région en nombre de lecteurs, le disputant certaines semaines avec Rhône-Alpes.
Bref, si en lançant le site internet d’Aquò d’Aquí, nous partions confiants en mai dernier, nous avons toutes raisons d’être satisfaits. Sans plus, car nous remplissons nos objectifs, qu’il est vrai certains nous disaient trop ambitieux.
Nous pensons qu’il faut l’être, ambitieux. Savoir se garder de tout triomphalisme, mais avoir confiance en nous. Nous démontrons grâce à votre bonne volonté, que l’occitan qu’on lit ou qu’on entend en Provence Alpes Côte d’Azur n’est pas une langue morte. C’est une langue d’information, d’échange aussi comme nous le laisse penser votre propension à utiliser l’espace « commentaires » à la fin des articles que vous lisez.
Dès que ce sera possible, techniquement et humainement, nous mettrons en place un « chat » afin de permettre des échanges plus directs, que vous pratiquez déjà grâce à notre profil Facebook.
Nous sommes toutefois interpellés par vos goûts. Vous allez préférentiellement voir ce que nous écrivons sur une « personnalité ». Le portrait de l’écrivain vous passionne plus que la politique régionale, le groupe musical recueille vos « clics » plus que ne le font les analyses sur l’environnement ou la culture en région. Cependant ces sujets ne vous laissent pas indifférents du tout, leur audience est respectable.
S’il est vrai que l’occitan peut servir à tout dire, nous espérons que vous ferez longtemps la démonstration qu’il peut aussi servir à tout lire.
En attendant nous voulons vous adresser un grand merci collectif. Nous sommes encouragés à poursuivre l’expérience parce que vous la plébiscitez.
Vous devez vous passer le mot, échanger notre adresse, car nous constatons que c’est par vagues géographiques que vous vous abonnez. Récemment, une trentaine d’habitants des Alpes-de-Haute Provence ont cliqué sur l’onglet « abonnements ». Il y avait eu aussi une vague niçoise au début de l’automne. Une onde marseillaise suivra peut-être notre article sur l’Ostau dau Païs Marselhés.
Une récente visite au Parlement Européen de Strasbourg devrait aussi nous voir arriver quelques députés du nord et de l’Est de l’Europe, ainsi que leurs collaborateurs, qui se sont montrés attentifs aux explications de notre journaliste.
Et nous avons maintenant de nombreux visiteurs italiens, catalans…et Polonais. Certains habitants de Majorque nous lisent à fond, restant en moyenne plus d’un quart d’heure à comparer notre occitan à leur catalan…Et en France, Paris devient notre deuxième région en nombre de lecteurs, le disputant certaines semaines avec Rhône-Alpes.
Bref, si en lançant le site internet d’Aquò d’Aquí, nous partions confiants en mai dernier, nous avons toutes raisons d’être satisfaits. Sans plus, car nous remplissons nos objectifs, qu’il est vrai certains nous disaient trop ambitieux.
Nous pensons qu’il faut l’être, ambitieux. Savoir se garder de tout triomphalisme, mais avoir confiance en nous. Nous démontrons grâce à votre bonne volonté, que l’occitan qu’on lit ou qu’on entend en Provence Alpes Côte d’Azur n’est pas une langue morte. C’est une langue d’information, d’échange aussi comme nous le laisse penser votre propension à utiliser l’espace « commentaires » à la fin des articles que vous lisez.
Dès que ce sera possible, techniquement et humainement, nous mettrons en place un « chat » afin de permettre des échanges plus directs, que vous pratiquez déjà grâce à notre profil Facebook.
Nous sommes toutefois interpellés par vos goûts. Vous allez préférentiellement voir ce que nous écrivons sur une « personnalité ». Le portrait de l’écrivain vous passionne plus que la politique régionale, le groupe musical recueille vos « clics » plus que ne le font les analyses sur l’environnement ou la culture en région. Cependant ces sujets ne vous laissent pas indifférents du tout, leur audience est respectable.
S’il est vrai que l’occitan peut servir à tout dire, nous espérons que vous ferez longtemps la démonstration qu’il peut aussi servir à tout lire.
En attendant nous voulons vous adresser un grand merci collectif. Nous sommes encouragés à poursuivre l’expérience parce que vous la plébiscitez.