Le candidat à sa réélection à la présidence de la République française a fait connaitre à Pour Que Vivent Nos Langues, ses propositions en ce qui concerne la promotion des langues de France et leur inscription dans le domaine du droit.
Pour M. Macron les dites langues sont un "trésor national" et il se félicite qu'elles soient inscrites dans le code du patrimoine. S'il rappelle qu'à la suite de la censure partielle de la Loi Mollac - due clairement aux manœuvres de son ministre de l'Education, son gouvernement avait agi pour que l'enseignement immersif puisse néanmoins continuer à être organisé, il affirme vouloir faciliter l'usage de ces langues, et "protéger le patrimoine qu'elles représentent".
Surtout, une fois réélu, les avancées éventuelles n'auront lieu qu'avec "votre mobilisation pour protéger les langues régionales...." qui entraînerait son soutien.
Sans mouvement revendicatif, faut-il comprendre, il ne se passerait rien de plus.
Dans le document transmis à PQVNL, créé en septembre 2019 avec la plupart des mouvements de défense des langues autochtones de France, il n'est fait aucune mention d'une augmentation du nombre de postes d'enseignants des dites langues, ni d'aucune mesure concrète ou législative à venir.
Pour M. Macron les dites langues sont un "trésor national" et il se félicite qu'elles soient inscrites dans le code du patrimoine. S'il rappelle qu'à la suite de la censure partielle de la Loi Mollac - due clairement aux manœuvres de son ministre de l'Education, son gouvernement avait agi pour que l'enseignement immersif puisse néanmoins continuer à être organisé, il affirme vouloir faciliter l'usage de ces langues, et "protéger le patrimoine qu'elles représentent".
Surtout, une fois réélu, les avancées éventuelles n'auront lieu qu'avec "votre mobilisation pour protéger les langues régionales...." qui entraînerait son soutien.
Sans mouvement revendicatif, faut-il comprendre, il ne se passerait rien de plus.
Dans le document transmis à PQVNL, créé en septembre 2019 avec la plupart des mouvements de défense des langues autochtones de France, il n'est fait aucune mention d'une augmentation du nombre de postes d'enseignants des dites langues, ni d'aucune mesure concrète ou législative à venir.