
"Leur apprentissage ne pose aucun problème, à condition qu'il se fasse dans le parascolaire ou l'associatif, pas à l'école" dit-elle au quotidien de la façade atlantique française.
Sa raison pour cette évacuation des langues autochtones est que l'école devrait se concentrer sur l'acquisition des savoirs fondamentaux, dont toutefois ferait partie l'histoire régionale.