Avec Aucelon dau Viatge, les quatre chanteuses de Marombina font évoluer leur pratique du chant vers un son plus brut. Fini l’écho plus ou moins présent dans leur premier album Cants occitans a cappella.
Et elles résistent toujours autant à la mode du trémolo dans le chant occitan. Tant mieux ! L’émotion n’a pas besoin de ces artifices vibratoires, soi disant traditionnels, pour s’exprimer.
Le mieux est encore de s’en rendre compte, lors du prochain récital de ce quatuor féminin, à La Seyne.
Le samedii 7 mars à 15h30 à l’Eglise St-Jean de Berthe, Danièle Collombon, Patricia Jouve, Sylvie Aligro et Danielle Franzin y feront entendre ce chant d’oiseau voyageur. L’entrée est libre.
Amours, rebellions, destins, joies…Le groupe se veut le reflet « d’une tradition vers un ailleurs ». Soulignons que Marombrina est un des noms provençaux pour dire « reflet ».
Si Damase Arbaud et ses collectages forment une bonne partie de leur répertoire, sacré ou profane, elles mettent aussi leur polyphonie au service de créations plus récentes, avec leurs propres arrangements.
Et elles résistent toujours autant à la mode du trémolo dans le chant occitan. Tant mieux ! L’émotion n’a pas besoin de ces artifices vibratoires, soi disant traditionnels, pour s’exprimer.
Le mieux est encore de s’en rendre compte, lors du prochain récital de ce quatuor féminin, à La Seyne.
Le samedii 7 mars à 15h30 à l’Eglise St-Jean de Berthe, Danièle Collombon, Patricia Jouve, Sylvie Aligro et Danielle Franzin y feront entendre ce chant d’oiseau voyageur. L’entrée est libre.
Amours, rebellions, destins, joies…Le groupe se veut le reflet « d’une tradition vers un ailleurs ». Soulignons que Marombrina est un des noms provençaux pour dire « reflet ».
Si Damase Arbaud et ses collectages forment une bonne partie de leur répertoire, sacré ou profane, elles mettent aussi leur polyphonie au service de créations plus récentes, avec leurs propres arrangements.