Eron tres pastoreletas, Montanha aupenca, o Vaixell de Grècia, autant de compositions pures ou sur des trads réarrangés, dus à Jean-François Motte, Jean-Pierre Dumas, ou carrément Lluis Llach…et une vingtaine d’autres morceaux chantés en chœur, tel Brave Milo, de René Bermon du groupe Balandrin…
La musique traditionnelle de création a ses adeptes, son champ est vaste, et son public existe bel et bien. Et elle s’exprime en occitan, souvent.
Car la lenga nòstra a encore clantit entre Gap, St-Bonnet , Laragne et Mison…
Pour ceux qui ne sont pas accoutumés aux vastes espaces striés d’arêtes rocheuses et de forêts pentues de ce pays de Haute Provence en Champsaur, il faut savoir qu’un festival de chorales qui se choisit un tel terrain, a une haute idée de la décentralisation.
Le sixième Cor N’Òc a mis en présence quelques groupes vocaux connus tels que Balandrin, Lo Rescontre Gapian, les Restoublons, Le Pays Gavot, Lei Mantenaires Chansouris ou le très jeune chœur de la Calandreta Gapiana (école bilingue de Gap).
« La situation, après le massacre de Paris, n’était pas favorable à la fréquentation, ni aux festivités » reconnait Jean-Pierre Motte, homme-orchestre de cette manifestation inscrite dans l’histoire récente du chant occitan. « Mais puisque nous avions l’autorisation, nous n’avons pas voulu admettre la peur que les assassins veulent faire régner ».
Moins de 500 personnes ont donc assisté aux trois soirées polyphoniques du Festival Cor N’Òc, mais deux vigiles ont du être embauchés à Gap, pour les contrôles visuels des sacs des spectateurs. « Cela nous a été imposé, et nous mettra un peu plus en difficulté financière ».
Les Rencontres polyphoniques de Cor N’Òc sont en effet largement autofinancées.
La musique traditionnelle de création a ses adeptes, son champ est vaste, et son public existe bel et bien. Et elle s’exprime en occitan, souvent.
Car la lenga nòstra a encore clantit entre Gap, St-Bonnet , Laragne et Mison…
Pour ceux qui ne sont pas accoutumés aux vastes espaces striés d’arêtes rocheuses et de forêts pentues de ce pays de Haute Provence en Champsaur, il faut savoir qu’un festival de chorales qui se choisit un tel terrain, a une haute idée de la décentralisation.
Le sixième Cor N’Òc a mis en présence quelques groupes vocaux connus tels que Balandrin, Lo Rescontre Gapian, les Restoublons, Le Pays Gavot, Lei Mantenaires Chansouris ou le très jeune chœur de la Calandreta Gapiana (école bilingue de Gap).
« La situation, après le massacre de Paris, n’était pas favorable à la fréquentation, ni aux festivités » reconnait Jean-Pierre Motte, homme-orchestre de cette manifestation inscrite dans l’histoire récente du chant occitan. « Mais puisque nous avions l’autorisation, nous n’avons pas voulu admettre la peur que les assassins veulent faire régner ».
Moins de 500 personnes ont donc assisté aux trois soirées polyphoniques du Festival Cor N’Òc, mais deux vigiles ont du être embauchés à Gap, pour les contrôles visuels des sacs des spectateurs. « Cela nous a été imposé, et nous mettra un peu plus en difficulté financière ».
Les Rencontres polyphoniques de Cor N’Òc sont en effet largement autofinancées.