Jean-Baptiste Giai et Maurice Guis, aux côtés de leur interprète Sylvain Brétéché, au Temple aixois de la rue de la Masse (photo MN)
Six semaines après le Festival du Tambourin, à Aix le couple fifre tambour a fait encore parler de lui. Sous les auspices des Festes d’Orphée, qui organisaient la soirée de mardi, Sylvain Brétéché (formation Archémia) a ouvert l’éventail du répertoire de ces instruments emblématiques de la musique en Provence.
De l’anonyme Chançonete Tedesche du XIVè siècle aux compositions début XXIè de Jean-Baptiste Giai, le galoubet et le tambourin ont su accompagner leur temps.
Des compositeurs dits classique, s’y sont essayé. Ainsi du Marseillais Henri Tomasi (Marseille La Belle de Mai 1901-1971), qui a écrit pour le couple « dans une sorte d’exotisme intérieur », selon Sylvain Brétéché.
Le musicien ressentait, au temple de La Masse, à Aix, une certaine pression avant de jouer, mardi 24 mai. N'allait-il pas le faire en présence de deux des compositeurs qu’il affectionne, et qu’il a interprété : Jean-Baptiste Giai et Maurice Guis ?
Lire aussi : Aqueu galobet-tamborin que colora tant de musicas
De l’anonyme Chançonete Tedesche du XIVè siècle aux compositions début XXIè de Jean-Baptiste Giai, le galoubet et le tambourin ont su accompagner leur temps.
Des compositeurs dits classique, s’y sont essayé. Ainsi du Marseillais Henri Tomasi (Marseille La Belle de Mai 1901-1971), qui a écrit pour le couple « dans une sorte d’exotisme intérieur », selon Sylvain Brétéché.
Le musicien ressentait, au temple de La Masse, à Aix, une certaine pression avant de jouer, mardi 24 mai. N'allait-il pas le faire en présence de deux des compositeurs qu’il affectionne, et qu’il a interprété : Jean-Baptiste Giai et Maurice Guis ?
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