Le dernier disque de Plantevin a en fait été enregistré l’été 2012. Reconnaissable entre tous, l’artiste, qui reste dans le Vaucluse, soigne tous ses arrangements, n’hésite pas à utiliser des cœurs, ni à mêler instruments électriques et traditionnels pour donner à ces chansons cet air de fête qui n’excluent pas les choses dites carrément.
Ainsi de cet appel à ne pas se laisser faire, sur le plan social en particulier, « boulego te cambarado ». Ou ce rappel, dans L’ami Petugno que les flatulences font partie de la vie…
Les coureurs de monde, les arpenteurs de planète qui sont légion dans l’occitanisme n’apprécieront pas forcément son appel à rester tanqué dans la terre du pays avec I a qu’aqui que siam bèn. Mais on verra que Plantevin, loin de vouloir arrêter le train du monde, aimerait tout simplement arrêter le temps, afin de garder les siens aussi longtemps que possible.
Nul doute que pour ce chanteur, l’important reste de rester soi-même, dans sa culture, dans un monde qui ne bouge pas forcément à notre avantage. Il le dit en utilisant des musiques pétillantes.
Si les paroles, qui valent le détour, ne figurent pas sur le disque, ils sont disponibles sur le site de l’association de Jean-Bernard Plantevin, Tron de disque ! Et ils le sont à la fois en graphie classique et en graphie mistralienne.
Ainsi de cet appel à ne pas se laisser faire, sur le plan social en particulier, « boulego te cambarado ». Ou ce rappel, dans L’ami Petugno que les flatulences font partie de la vie…
Les coureurs de monde, les arpenteurs de planète qui sont légion dans l’occitanisme n’apprécieront pas forcément son appel à rester tanqué dans la terre du pays avec I a qu’aqui que siam bèn. Mais on verra que Plantevin, loin de vouloir arrêter le train du monde, aimerait tout simplement arrêter le temps, afin de garder les siens aussi longtemps que possible.
Nul doute que pour ce chanteur, l’important reste de rester soi-même, dans sa culture, dans un monde qui ne bouge pas forcément à notre avantage. Il le dit en utilisant des musiques pétillantes.
Si les paroles, qui valent le détour, ne figurent pas sur le disque, ils sont disponibles sur le site de l’association de Jean-Bernard Plantevin, Tron de disque ! Et ils le sont à la fois en graphie classique et en graphie mistralienne.