Erreur de routage...mais tout finit bien grâce à votre vigilance !
Voici deux semaines nous vous demandions de nous avertir de la réception de notre numéro de septembre.
En effet, ce journal a été envoyé à nos abonnés sans que leur adresse ne fasse apparaitre ni leur commune ni leur code postal.
Une trentaine d'entre vous nous ont immédiatement appris que leur magazine était bien arrivé mais bien sans les mentions indispensables. En effet, ceux parmi nos abonnés qui habitent une rue au nom rare, comme par exemple un héros local tombé durant la Résistance, ou un écrivain à la notoriété locale, ou encore un médecin ayant toujours vécu là, ceux-là recevaient leur numéro, les logiciels de la Poste les retrouvant.
Mais ceux qui habitent rue Général De Gaulle, place Victor Hugo ou avenue de la République, ceux-là avaient été privé de la lecture d'Aquò d'Aquí.
Grâce à vos réponses nous avons pu rapidement montrer au routeur de notre journal qu'il était responsable de l'erreur et réclamer - avec succès - un retirage et réexpédition du numéro d'octobre à ses frais.
Si toutefois le journal ne vous était pas parvenu à ce jour, faites nous le savoir. Nous suivons de près les développements de cette histoire...Nous sommes bien entendus désolés de ce contretemps.
En effet, ce journal a été envoyé à nos abonnés sans que leur adresse ne fasse apparaitre ni leur commune ni leur code postal.
Une trentaine d'entre vous nous ont immédiatement appris que leur magazine était bien arrivé mais bien sans les mentions indispensables. En effet, ceux parmi nos abonnés qui habitent une rue au nom rare, comme par exemple un héros local tombé durant la Résistance, ou un écrivain à la notoriété locale, ou encore un médecin ayant toujours vécu là, ceux-là recevaient leur numéro, les logiciels de la Poste les retrouvant.
Mais ceux qui habitent rue Général De Gaulle, place Victor Hugo ou avenue de la République, ceux-là avaient été privé de la lecture d'Aquò d'Aquí.
Grâce à vos réponses nous avons pu rapidement montrer au routeur de notre journal qu'il était responsable de l'erreur et réclamer - avec succès - un retirage et réexpédition du numéro d'octobre à ses frais.
Si toutefois le journal ne vous était pas parvenu à ce jour, faites nous le savoir. Nous suivons de près les développements de cette histoire...Nous sommes bien entendus désolés de ce contretemps.