"Depuis 1995 de nombreuses études montrent l'intérêt de nos enseignements en immersion" souligne Jean-Louis Blénet, à l'attention du ministre de l'Education (photo MN)
"Comme au Canada où 430 000 élèves bénéficient d’un programme d’immersion linguistique en français, nos écoles en langues minoritaires Diwan (breton), Seaska (basque), Calandreta (occitan), Bressola (catalan) et ABCM (alsacien et moselan) accueillent quelques 15 000 élèves, et c’est hélas trop peu" souligne Jean-Louis Blénet, le président de la Fédération des Calandretas occitanes.
JL Blénet entendait répondre, arguments sur table, aux propos inconséquents du ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, qui a exprimé voici peu des doutes sur l’intérêt des enseignements immersifs en langues régionales, les soupçonnant d’affaiblir la connaissance du français des élèves.
Un très mauvais coup publicitaire pour ces écoles, d’où les enfants sortent s’exprimant mieux en français que nombre d’autres.
« Ce système éducatif a fait l'objet d'une grande quantité d'études, d'évaluations et de publications entre les années 1995 et 2010 principalement » a précisé M. Blénet, en réponse aux questionnements de M. Blanquer, estimant que les méthodes devaient faire l’objet d’études et d’évaluations, en fait réalisées depuis longtemps.
Nous vous invitons à lire en pièce jointe l’argumentaire de Jean-Louis Blénet, co-signé par l'autre président de la Confédération des Calandretas, Emmanuel Questel.
JL Blénet entendait répondre, arguments sur table, aux propos inconséquents du ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, qui a exprimé voici peu des doutes sur l’intérêt des enseignements immersifs en langues régionales, les soupçonnant d’affaiblir la connaissance du français des élèves.
Un très mauvais coup publicitaire pour ces écoles, d’où les enfants sortent s’exprimant mieux en français que nombre d’autres.
« Ce système éducatif a fait l'objet d'une grande quantité d'études, d'évaluations et de publications entre les années 1995 et 2010 principalement » a précisé M. Blénet, en réponse aux questionnements de M. Blanquer, estimant que les méthodes devaient faire l’objet d’études et d’évaluations, en fait réalisées depuis longtemps.
Nous vous invitons à lire en pièce jointe l’argumentaire de Jean-Louis Blénet, co-signé par l'autre président de la Confédération des Calandretas, Emmanuel Questel.