De Toulouse à... Mars, nous vous proposons un numéro de qualité... un de plus, grâce à vous !
Pendant ce temps, Perseverance arrive sur Mars ! Mais, nous, nous ne quittons pas nos régions, puisque lasers et éléments d’optique du “rover”, viennent de nos pays occitans. On vous explique tout ça…
Dans notre numéro de mars, nous laissons aussi la parole à nos lecteurs. Et bien! ils ne sont pas toujours tendres. Et la critique mérite le détour. Nous vous invitons à vous abonner afin de participer – comme lecteurs, mais aussi comme critiques – à cet exercice de démocratie par la presse.
Savez vous que le groupe La Talvera célèbre ses quarante ans ? Né pour mener des activités de collectage dans le Tarn, le groupe de Daniel Loddo a élargi ses horizons jusqu’au Brésil, et est devenu une référence de la musique trad engagée. On en parle avec le fondateur à l’occasion de la sortie du disque A tu vai.
Sans oublier la résurgence bienvenue de Sam Karpienia ( Dupain, ça vous parle?…). Il quitte la marine pour reprendre la clef de sol :l’album numérique de son groupe De la Crau est une merveille…
Nous vous invitons aussi à vous intéresser à une pratique gravissime dans ce numéro : le viol ; et à la personnalité des violeurs manipulateurs. L’horreur de cette violence réside non seulement dans l’acte lui-même, mais aussi dans sa négation par la justice.
A l’heure où la parole des victimes d’actes sexuels contraints se libère, Sarà Laurenç évoque longuement le cas Luc Tangorre, cette soi-disant victime d’erreurs judiciaires qui aura réussi à subjuguer juges, politiques, écrivains ; à l’exception de ses victimes, jugées moins crédibles que quiconque durant plusieurs décennies. Il y a tant à dire que l’analyse de l’écrivaine donnera lieu à une seconde publication le mois prochain.
Ce numéro correspond aussi au premier anniversaire de l’épidémie qui se confond avec la privation répétées de nos libertés fondamentales : aller et venir, voter dans de bonnes conditions...Nous nous souvenons de ce mois de mars 2020 durant lequel la survie d’Aquò d’Aquí, aussi, était en jeu.
Nous nous souvenons aussi que, par deux actes fondamentaux, ce sont ses abonnés qui ont sauvé l’ultime magazine d’actualités sociétale dans le domaine occitan : en s’abonnant et se réabonnant à temps, et en effectuant des dons.
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