A l'issue d'une seconde année marquée par les restrictions, une crise sanitaire aux multiples aspects, votre journal maintien le cap. Il le fait grâce à vos abonnements et à vos dons. Malgré la difficulté du temps vous n'avez pas considéré que dire la société du pays d'oc en langue occitane avait un intérêt secondaire.
Désormais notre mensuel affiche de nombreuses variétés de l'occitan
Nous tirerons début 2022 le bilan chiffré de cette année difficile pour tous, d'autant plus qu'elle portait des espoirs de retour à une vie normale. Le plus probable est que Aquò d'Aquí aura à nouveau augmenté le nombre de ses abonnés de 7%, comme en 2020. Encore faudra t'il voir si ceux ci se réabonnent, ce qui est essentiel pour un journal qui tire à ce point son prix vers le bas pour être accessible à tous.
Les débats de société, justement concernant les divers aspects de cette crise, n'ont pas manqué, et nous avons essayé d'en rendre compte, comme toujours avec le regard particulier qui ne doit rien aux cénacles parisiens qui voient tout à travers un prisme territorial hiérarchisé.
Et nous vous avons informé en occitan, en élargissant encore la palette des variétés publiées puisque nous espérons y faire désormais figurer le gascon à côté des autres.
A ce sujet, nous ne dirons jamais assez à quel point nous comptons sur de petites équipes, voire des individus, dont l'investissement linguistique égale la bienveillance. Grâce à elles nous pouvons remplir notre mission auprès du public : rendre compte de l'information d'actualité, débats de société compris, en langue occitane, dans sa plus grande variété.
En cette fin d'année, nous nous contenterons de répéter la traditionnelle phrase, si pleine de bon sens avec son austérité et son humanité.
Alègre ! alègre,
Mi bèus enfant, Diéu nous alègre !
Emé Calèndo tout bèn vèn…
Diéu nous fague la gràci de vèire l’an que vèn,
E se noun sian pas mai, que noun fuguen pas mens !
Les débats de société, justement concernant les divers aspects de cette crise, n'ont pas manqué, et nous avons essayé d'en rendre compte, comme toujours avec le regard particulier qui ne doit rien aux cénacles parisiens qui voient tout à travers un prisme territorial hiérarchisé.
Et nous vous avons informé en occitan, en élargissant encore la palette des variétés publiées puisque nous espérons y faire désormais figurer le gascon à côté des autres.
A ce sujet, nous ne dirons jamais assez à quel point nous comptons sur de petites équipes, voire des individus, dont l'investissement linguistique égale la bienveillance. Grâce à elles nous pouvons remplir notre mission auprès du public : rendre compte de l'information d'actualité, débats de société compris, en langue occitane, dans sa plus grande variété.
En cette fin d'année, nous nous contenterons de répéter la traditionnelle phrase, si pleine de bon sens avec son austérité et son humanité.
Alègre ! alègre,
Mi bèus enfant, Diéu nous alègre !
Emé Calèndo tout bèn vèn…
Diéu nous fague la gràci de vèire l’an que vèn,
E se noun sian pas mai, que noun fuguen pas mens !