Chez vous vers le 15 novembre
Malgré les difficultés, financières, qui épuisent l'équipe après trente cinq ans de publication à prix modéré, le numéro de novembre est prêt à l'impression. Vous vous abonnez ? voyons le sommaire... sommairement...
L'agriculture familiale est un modèle qui véhicule encore la langue d'oc, mais ...
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Nous avons suivi le congrès du Forum d'Oc en octobre, en Provence. Et son thème mettait en exergue la problématique de l'agriculture familiale disparaissant lentement mais surement en particulier à cause de la cherté du foncier agricole. Or, l'alimentation devient un enjeu économique et stratégique pour des groupes financiers aux moyens importants, qui aujourd'hui investissent dans les domaines agricoles.
Or, ce modèle familial en danger véhicule une richesse d'un tout autre ordre : les paysans emploient encore la langue d'oc, souvent, et même si souvent il n'en reste que le jargon professionnel du travail de la terre, avec eux l'occitan reste relativement véhiculaire.
Perdre la terre ce serait donc perdre la langue...
Dans ce numéro nous terminons la publication de l'histoire de l'ultime exécution capitale française, qui eut lieu à Marseille, et Sarà Laurens encore une fois décortique la mécanique de l'horreur.
Liza l'Occitane, elle, nous narre un superbe projet collectif engageant les artistes de langues minoritaires, à Astaffort, la patrie de Francis Cabrel. L'article sera donc en provençal (comma Liza) et gascon ( comme Astaffort).
Eliana Tourtet s'est intéressé, elle, à un aspect fondamental de la personnalité d'Annie Ernaux, la prix Nobel de littérature... qui fut confrontée à la répression scolaire de son français trop régional au goût de ses maîtres.
Dans ce numéro nous proposons aussi, en particulier aux enseignants, mais pas que, une page illustrée thématique : quelle alternative occitane aux anglicismes courants ?
Le sommaire est bien plus riche encore, sur 24 pages illustrées. Mais nous vous le laisserons découvrir quand le facteur vous l'apportera. Vous vous abonnez ? C'est ici
Or, ce modèle familial en danger véhicule une richesse d'un tout autre ordre : les paysans emploient encore la langue d'oc, souvent, et même si souvent il n'en reste que le jargon professionnel du travail de la terre, avec eux l'occitan reste relativement véhiculaire.
Perdre la terre ce serait donc perdre la langue...
Dans ce numéro nous terminons la publication de l'histoire de l'ultime exécution capitale française, qui eut lieu à Marseille, et Sarà Laurens encore une fois décortique la mécanique de l'horreur.
Liza l'Occitane, elle, nous narre un superbe projet collectif engageant les artistes de langues minoritaires, à Astaffort, la patrie de Francis Cabrel. L'article sera donc en provençal (comma Liza) et gascon ( comme Astaffort).
Eliana Tourtet s'est intéressé, elle, à un aspect fondamental de la personnalité d'Annie Ernaux, la prix Nobel de littérature... qui fut confrontée à la répression scolaire de son français trop régional au goût de ses maîtres.
Dans ce numéro nous proposons aussi, en particulier aux enseignants, mais pas que, une page illustrée thématique : quelle alternative occitane aux anglicismes courants ?
Le sommaire est bien plus riche encore, sur 24 pages illustrées. Mais nous vous le laisserons découvrir quand le facteur vous l'apportera. Vous vous abonnez ? C'est ici